Je vous avais promis de vous faire découvrir notre joli hôtel à Lisbonne et puis j’avoue, ça m’est sorti de la tête! Notre séjour à Lisbonne commence à dater un peu, puisque c’était mi Août, mais bon mieux vaut tard que jamais. Je vous présente le très joli endroit où nous avons séjourné: Palacio Vila Flor

C’est un ensemble de maisonnées situé en plein cœur de l’Alfama, et avec vue sur le Tage. Nous avons stationné le long du boulevard, et sommes montés rejoindre notre hôtel à pied. A peine le portail ouvert, nous étions sous le charme. La cour de réception est très chaleureuse et pittoresque avec ses azulejos et le linge étendu. Derrière une porte nous découvrons la très jolie salle commune, parfaitement bien décoré et une autre cour plus intime. Enfin notre chambre, très joli aussi, et insolite avec sa salle de bain cachée dans un placard. J’ai vraiment adoré cet endroit. Un véritable havre de paix. Les propriétaires étaient adorables, le petit déjeuner excellent… C’était parfait. Vous pouvez y allé les yeux fermés! D’ailleurs si nous retournons à Lisbonne avec les enfants c’est certain que nous reviendrons ici.

J’en profite pour vous parler aussi d’un restaurant qui nous a beaucoup plu. Pour le soir nous ne voulions pas reprendre la voiture, nous avons donc arpenté les rues de l’Alfama à la recherche d’un lieu pour diner. Et nous sommes tombés sur Chapitô, un lieu très insolite; une ancienne école de Cirque, réhabilitée en restaurant, boutique, médiathèque sur les arts du cirque et bien sûr son chapiteau où se produisent des élèves du Cirque. En plus de tout ça, le lieu est situé sur une des plus belles terrasses de Lisbonne avec une vue à couper le souffle. Et cerise sur le gâteau, nous avons très bien mangé! C’est d’ailleurs ici que j’ai découvert le gaspacho de l’Alentejo. La serveuse qui s’est occupé de nous était adorable, nous avons passé tout le repas à nous demandé à qui elle ressemblait… Et puis à un moment on a trouvé elle ressemblait à Augustine la mère de Marcel Pagnol dans la Gloire de mon Père. On lui a même laissé un pourboire pour faire mentir les mauvaises langues qui affirment que les français n’en donne jamais.